Encore une grosse journée à Montlhéry, cela ne fait jamais que 2 samedis de suite,
après la grosse cavalerie de la semaine précédente ( j'aimerais bien revoir la petite vidéo sur les GT, qui a été passée pendant la soirée)
cette fois-ci nous étions en nombre avec 2 R8 Gordini.
Nous avons une fois de plus passé une super journée avec les GO de L'Utac assistés par les
habitués du Clio V6 Passion.
Je laisse Nicole vous donner son ressenti.
Un grand jour …
A l’insu de mon plein gré,

suite au désistement plus que justifié de notre ami Jean-Marc, Joël n’a pas trouvé d’autre solution que de me confier la lourde tâche d’acheminer une de ses Gord à Montlhéry. Ma modeste expérience en traction d’une remorque m’a tout d’abord fait refuser catégoriquement, mais devant la déception de l’homme de ma vie, j’ai pris sur moi pour conduire l’attelage, angoissée à mort de tourner sur l’anneau, entreprise qui m’était totalement inédite .
Mon seul réconfort était la bienveillance des organisateurs et ma bonne volonté de respecter les participants aguerris.
Une fois sur place, Miss RS m’a donné le courage qui me manquait et je me suis lancée (Merci Isabelle). J’ai fait tout mon possible pour ne gêner aucun participant tout en respectant strictement les consignes de sécurité afin d’éviter l’écrasement malencontreux d’un membre de l’organisation, en particulier Christian…
Après coup, je me dis que je prendrais volontiers quelques leçons de pilotage

; si j’ai trouvé les chicanes très rigolotes, j’ai été complètement à la ramasse dans l’épingle au bout de la ligne droite des stands et dans le virage de Faye.
Mais j’ai quand même réussi à doubler deux Gord ! (je ne doute pas un seul instant qu’ils laissaient refroidir leurs freins).
Enfin nous avons apprécié le délicieux repas de gala

et l’animation de la soirée en compagnie de convives très sympathiques qui connaissaient bien notre région
En tout cas grandissime merci à l’organisation pour son fair-play et son sens de l’humour.
Mon premier trophée trône sur mon bureau et je l’apprécie ENORMEMENT. (Encore merci Christian !)
Le retour à Vesoul s’est très bien passé, un peu lentement à mon goût.

Mon Master allait du feu de Dieu, mais le tracassin de Joël peinait dans les côtes et les orages violents que nous avons traversés ne m’ont pas impressionnée. A cinq heures, l’heure où Paris s’éveille, nous retrouvions avec plaisir notre lit !
Prête à tout et bonne à rien ! Même plus peur !!!
Je vis avec un compagnon exceptionnel !